Le 1er janvier dernier, les universités de Montpellier 1 et 2 ont fusionné pour devenir l’Université de Montpellier, se hissant ainsi au 6eme rang national.
Une meilleure visibilité
Après Bordeaux, Strasbourg ou Marseille, Montpellier, le processus de fusion des universités de Montpellier 1 et Montpellier 2 initié en 2012 vient d’aboutir au 1er janvier 2015. L’objectif de cette fusion : réunir une vaste communauté de savoirs dans une constante recherche d’excellence pour une meilleure visibilité à l’échelle internationale. L’Université de Montpellier apparaît ainsi dans les classements internationaux comme celui de Shanghai ou dans le QS World University Ranking.
Pour symboliser cette dynamique, la nouvelle entité s’est dotée d’un nouveau site web et d’un nouveau logo. Ce dernier évoque le passé historique universitaire de la ville sous la forme d’un sceau, contrasté de la modernité de crénelures et d’une couleur rouge rayonnante.
L’union de facultés, d’instituts et d’écoles
La nouvelle Université de Montpellier regroupe 17 composantes parmi lesquelles les anciennes facultés de droit, de Sciences, d’AES et Sciences Economiques, d’odontologie, de médecine, d’éducation et de pharmacie mais aussi des instituts tels que l’IAE, l’IPAG, l’ISEM et les IUT ou des écoles comme Polytech ou l’Observatoire de Recherche Méditerranéen de l’Environnement. Elle rassemble ainsi 41000 étudiants, 4200 agents, 72 structures de recherche réparties dans 9 départements scientifiques et gère un budget de 400 millions d’euros.
La faculté de lettres se distingue
Seule la faculté de lettres qui dénombre 20 000 étudiants ne s’est pas alliée aux autres, gardant sa dénomination d’Université Montpellier 3. Elle fait toutefois partie des membres de la Comue (Communauté d’universités et établissements) qui réunit universités, établissements d’enseignement supérieur et organismes de recherche de la région Languedoc Roussillon dans une volonté de synergie, d’action commune et de mutualisation des moyens.
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